En rupture avec l’environnement financier et macroéconomique, l’immobilier français a clôturé l’année 2011 sur une note dynamique, où les volumes engagés ont rebondit pour atteindre un niveau honorable de 16,1 md€, contre 9 md€ en 2009. Toutefois, plusieurs forces de soutien manqueront au marché en 2012...
Source : La Française AM