Selon des études récentes, alors que l’immobilier bon marché est un facteur de compétitive en Allemagne, l’immobilier français pèserait sur la croissance. Ce secteur, secteur peu liquide et non innovant, capterait les capitaux au détriment d’investissement plus « productifs ».
A rebours d’une telle conception, l’immobilier d’entreprise (le résidentiel reposant sur d’autres ressorts) contribue selon nous significativement à la croissance économique. En effet, si l’acquisition de bureaux, d’entrepôts ou de commerces capte une partie de la valeur produite par leurs occupants, elle génère également de nombreuses externalités positives.
Source : La Française AM