Depuis 2012, les signes de ralentissement se sont progressivement multipliés sur le marché résidentiel haut de gamme, un temps préservé des turbulences économiques mais finalement rattrapé par le climat général morose. Les acquéreurs potentiels sont restés très attentifs à l’environnement économique et fiscal et surtout à la qualité des biens visités. Localisés pour l’essentiel dans les beaux quartiers du Centre et de l’Ouest parisien, les appartements de standing et les biens de prestige commencent à afficher des prix plus « cohérents » avec la réalité économique.
Source : CBRE