La France reste un pays attractif pour l’investissement immobilier pour 60 % des investisseurs. Elle décroche néanmoins par rapport au Royaume-Uni (96 %) et à l’Allemagne (99 %) et son attractivité est en baisse pour la deuxième année consécutive.
Le rôle croissant des fournisseurs de crédits alternatifs dans le financement des investissements se confirme (82 % sont d’accord, contre 75 % en 2013).
En 2014, le volume des transactions augmentera notamment du fait des investisseurs étrangers. Des stratégies plus risquées (stratégies dites Value Added et opportunistes) seront mises en oeuvre (pour 84 % et des investisseurs).
L’immobilier de bureaux et commercial retiennent toujours l’intérêt des investisseurs ; ces derniers se désintéressent néanmoins de l’immobilier résidentiel.
Source : Ernst & Young