Si la dynamique de l’activité d’investissement peut paraître paradoxale au regard de la nette décélération du marché locatif français, elle s’est confirmée en 2013. Les volumes investis
en immobilier d’entreprise banalisé, de l’ordre de 15 milliards d’euros, égalent ainsi ceux engagés en 2011 et 2012.
Les raisons sont à la fois conjoncturelles, sur fond d’arbitrage favorable à l’immobilier en termes d’allocation d’actifs, et structurelles, car les liquidités à placer restent abondantes sur le marché. L’appétit des investisseurs nationaux et internationaux n’est d’ailleurs que partiellement assouvi, faute d’offre correspondant à leurs critères de recherche, au premier rang desquels les actifs « core » sécurisés.
Source : Crédit Foncier Immobilier