La première moitié de l’été a vu se maintenir le climat morose qui plane sur l’hôtellerie française depuis
quelques mois. En juillet, les hôtels de luxe de Paris et de la Côte d’Azur ont subi « l’effet Ramadan ».
Mais au-delà de ce phénomène qui concerne moins de 1% des hôtels français, ce sont les segments
Super-économiques et Economiques qui affichent une dégradation inquiétante de leurs performances
commerciales mois après mois.
Source : In Extenso - Deloitte