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Si le contexte économique reste dégradé, quelques indicateurs s’améliorent, toutefois, lentement. Après avoir stagné, au dernier trimestre 2014, le PIB a progressé de 0,6 % au cours du premier trimestre 2015. D’ailleurs, à fin mai, le climat des affaires s’améliore en France, et ce, dans tous les secteurs économiques (commerce de gros et de détail, services, industrie et bâtiment), même s’il reste encore inférieur à son niveau moyen de long terme. Les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière anticipent même une hausse de 7 % de leurs investissements en 2015.

Le taux de chômage diminue de 0,1 point au premier trimestre et atteint, en moyenne, 10 % de la population active en France métropolitaine, augmentant tout de même de 0,2 point sur un an.

Après une accélération au premier trimestre, la consommation des ménages s’est stabilisée en avril. À fin mai, les prix à la consommation ont augmenté de 0,3 % et l’inflation de 0,6 % en variation annuelle.

Jusqu’à présent, malgré la crise économique, les marchés immobiliers ont pu se maintenir grâce aux conditions d’accès au crédit à l’habitat, rendues attractives avec la chute des taux, lui a été remarquable tant par sa durée que par les baisses enregistrées. Le récent coup d’arrêt à cette baisse donne un nouveau signal aux ménages, qui réviseront probablement leurs anticipations. Malgré sa force d’inertie, le marché résidentiel commence, en outre, à répondre aux stimuli du plan de relance du Gouvernement pour favoriser le logement, lancé à l’automne dernier. Des effets positifs ont, ainsi, commencé à se produire avec le retour de ménages modestes ou primo-accédants sur les marchés et celui des investisseurs en locatif privé sur le secteur du neuf. 

Source : Crédit Foncier Immobilier

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