A Paris, Marseille, Lille, Besançon ou Metz, les locataires de certains quartiers ont encaissé des hausses conséquentes. Exemple : dans le 11ème arrondissement de Paris, les tarifs affichés en agence ont grimpé de 4% en trois mois. Idem pour le 11ème arrondissement de Marseille, ou la hausse dépasse les 7% sur trois mois. Les raisons de ces hausses La demande locative reste forte mais concentrée sur certains quartiers. Pour preuve, les baisses observées concomitamment dans certains arrondissements de la Capitale, mais aussi à Epinal, Rodez ou Bourges.
Source : Seloger.com