« Auparavant, posséder un actif de santé dans son portefeuille était dû au hasard des investissements. Aujourd’hui, c’est une vraie stratégie, avec des investisseurs de (...)
A première vue, le premier semestre 2012 n’a pas semblé particulièrement favorable à l’immobilier de santé. « Depuis le début de l’année, trois opérations ont été signées pour un montant de près de 150 M€ », relève Magali Marton, directrice de DTZ Research CEMEA. A première vue seulement. Car les trois opérations en question - le portefeuille Gecina comprenant six maisons de retraite médicalisées, le portefeuille cédé par Foncière des Murs à BNP Paribas REIM et l’acquisition par Cofinimmo des murs d’un Ehpad situé à Paris 19e – ne sont pas le signe d’un désintérêt des investisseurs pour les actifs de santé, mais « uniquement d’un manque d’opportunités et de produits », comme l’assure Magali Marton. Du reste, l’immobilier de santé a confirmé en ce début d’année son statut de nouveau terrain de jeu des investisseurs, à la recherche de cash-flow sécurisés. Institutionnels en tête.
« Auparavant, posséder un actif de santé dans son portefeuille était dû au hasard des investissements. Aujourd’hui, c’est une vraie stratégie, avec des investisseurs de (...)
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