Non seulement les prévisions de croissance pour 2014 sont redevenues inférieures à 1 % au cours du 2e trimestre et le chômage ne parvient pas à se résorber, mais de plus, l’inflation étonne par sa faiblesse : selon l’Insee, elle a été contenue à 0,7 % en 2013 et atteindra au mieux 1,3 % cette année, puis 1,1 % en 2015. Même l’impact de la hausse de la TVA (taux normal passé de 19,6 % à 20 % et taux intermédiaire passé de 7 % à 10 %) depuis début janvier reste faiblement perceptible à ce jour.
Ces différents indicateurs (PIB, chômage, inflation) varient d’un pays à l’autre en Europe, mais globalement, la situation au sein de la zone euro reste très précaire, l’évolution trimestrielle du PIB semblant assez aléatoire et vulnérable au moindre événement externe, climatique par exemple.
Source : Keops