Une étude produite par
- Les investisseurs institutionnels français sont relativement moins exposés au secteur résidentiel que leurs homologues allemands ou néerlandais. Compte tenu de la taille du marché français, cette sous-exposition pourrait entraîner une augmentation des volumes d’investissement en résidentiel.
- D’autre part, les tendances démographiques jouent en faveur de la France, avec une augmentation du nombre de ménages sur les cinq prochaines années relativement plus importante qu’en Allemagne, en Italie ou en Espagne par exemple.
- Jusqu’à présent, la majorité du capital institutionnel déployé reste concentrée en région parisienne. Cela se justifie par le poids démographique et économique de Paris et sa visibilité au niveau international.
- Cependant, une approche plus granulaire, basée sur les données d’Homiwoo, confirme que les taux de rendement sont en moyenne plus bas en région parisienne tandis que de meilleurs taux peuvent être trouvés dans des villes de province comme à Strasbourg, Lille ou Toulouse.
- Ces données affinées à l’échelle micro mettent en évidence des opportunités d’investissement en permettant aux investisseurs d’identifier avec précision des localisations bénéficiant de conditions attractives en termes de loyers et de valeur vénale.
Source : AEW Europe
