Les marchés terminent l’année, comme nous l’anticipions, sur une note optimiste : ils continuent à apprécier une série de chiffres économiques de bonne facture aux Etats-Unis et en Chine, digèrent avec fatalisme des statistiques européennes dégradées mais assorties d’indicateurs avancés stabilisés, se satisfont des avancées des plans de soutien en Espagne ou en Grèce, s’émeuvent brièvement de la résurgence du risque politique en Italie, et continuent à investir leur confiance dans la capacité des banques centrales à gérer les risques extrêmes, bien plus qu’ils ne croient en une perspective très porteuse en 2013 pour la croissance.
Source : La Française AM