Le déficit des offres « prime » a affecté l’investissement, notamment dans le QCA2 et pour la logistique. Ainsi 77 % de nos panelistes relèvent la pénurie d’actifs de bureaux « prime » et soulignent la forte concurrence à l’acquisition sur cette typologie d’actifs.
Paris ne cristallise plus toutes les opérations, c’est une des informations importantes qui ressort de nos entretiens. Les investisseurs se tournent désormais vers la périphérie, ce qui explique en partie la chute du poids de la capitale dans le volume des transactions.
Source : Ernst & Young