Alors même que les taux de crédit continuent d’être historiquement bas, au premier trimestre 2014, les ventes déclinent de 42% par rapport au premier trimestre de l’année précédente.
De même, la période est marquée par une chute des commercialisations de -60% par rapport au premier trimestre 2013 ; ceci pouvant s’expliquer notamment par le gel des autorisations à construire précédant les élections municipales de mars 2014, ou la prudence des promoteurs face à l’envolée des stocks.
Dans un tel contexte, l’encours de logements neufs continue de croître, de l’ordre de +15% en un an, reflétant ainsi la fragilité du secteur.
Quant aux prix, ces derniers stagnent voire s’effritent légèrement, mais demeurent encore trop élevés pour attirer les potentiels acquéreurs dans le neuf.
Source : ADIL 75 (Agence départementale d'information sur le logement 75)