Le marché résidentiel se corrige de façon différenciée entre neuf et ancien. Dans l’ancien, les ventes totalisent 740 000 unités au T1 2014 (cumul 12 mois), niveau élevé, en baisse de 9 % seulement par rapport aux pics de 2007.
Les prix restent en recul très faible, -1,4 % sur un an au T1 2014. Dans le neuf, la correction est significative, avec, début 2014, des ventes en repli de 31 % par rapport à 2007 dans le neuf promoteurs, et de 44 % pour les maisons individuelles (hors promoteurs). D’où un fort repli des mises en chantier, -33 % sur cette même période. Comment peut-on expliquer ce marché à deux vitesses ?
Source : Crédit Agricole