Après le creux de 2013, l’activité sur le marché des bureaux francilien s’est améliorée en 2014, avec une demande placée qui franchit de nouveau et dépasse le seuil symbolique des 2 millions de m².
Cette amélioration n’est toutefois pas le signe d’une reprise franche du marché, le volume des transactions étant inférieur de 8 % à la moyenne décennale.
Tant que l’économie française ne donnera pas un signal fort de reprise, impulsant un retour de la confiance des acteurs économiques, le marché des bureaux restera contraint par le comportement prudent des entreprises. La recherche d’économies, mais également l’amélioration et la transformation de l’outil de travail, resteront les moteurs des projets immobiliers.
Source : Colliers International