Ce mois de mai ne déroge pas à la tradition boursière en termes de nervosité et de volatilité, mais à la différence d'autres années, il se traduit au final par une résistance remarquable des actifs risqués et par un repli très ténu des grands indices boursiers. Deux grandes thématiques purement macro-économiques ont entretenu le doute au cours des dernières semaines : la dynamique de la croissance mondiale et la lancinante question des dettes publiques, avec plus particulièrement l'impasse grecque.
Source : La Française AM