Fin des espoirs placés dans la croissance américaine, décélération des principales économies asiatiques, difficultés en Russie et dans les pays émergents avaient marqué le début d’année. Ce contexte, peu propice à la reprise de l’économie européenne et française, était néanmoins contrebalancé par des cours du pétrole favorables aux pays importateurs et une abondance de liquidités voulue pour favoriser l’investissement.
Si cet environnement n’a guère évolué au cours du deuxième trimestre, sont venus s’ajouter des facteurs d’inquiétudes inédits, avec la généralisation d’un terrorisme destiné à angoisser les populations, et surtout avec le Brexit, bien plus impactant sur le climat des affaires.
Source : Crédit foncier immobilier