Une étude produite par
Comme nous l’avions prévu et annoncé, le mouvement est haussier, relève Cécile Roquelaure, Directrice Etudes et communication d’Empruntis. Soit, il est toujours possible, pour les profils dits « premium », de négocier des taux planchers aves les établissements bancaires. Mais les emprunteurs ayant des profils plus « intermédiaires » se voient directement impactés par ces augmentations. La vague de hausses, qui avait majoritairement touché des banques régionales au début du mois de décembre, touche aussi des banques nationales. Pour exemple, une banque nationale rehausse son barème de 10 centimes en moyenne en ce milieu de mois, et, une autre de 5 à 18 centimes. Le début d’année 2017 devrait donc surfer sur cette vague de hausses, mais pas de panique ! Les taux resteront encore en dessous de 2% sur les durées les plus demandées par les emprunteurs.».
Source : Empruntis
