Selon une étude Xerfi, le Big Data n'a pas fini de s'imposer dans l'immobilier. Déjà utilisé pour des services très divers (estimations en ligne, intégration de données sur l'environnement des biens, smart building, etc.), il fait désormais partie des priorités stratégiques de nombre d'acteurs de la transaction, de la gestion ou encore des petites annonces immobilières. Ces derniers tendent néanmoins à recourir aux offres des nouveaux entrants qui réalisent des traitements smart des données et qui s'appuient, pour certains, sur des modèles disruptifs. Pour des raisons réglementaires, mais aussi culturelles, la France reste encore largement derrière les États-Unis en termes d'innovation et de services rendus aux clients grâce à la data. Mais le contexte change : le plus grand accès aux données de marché des notaires ouvre par exemple la voie à de nouvelles offres. Comment les acteurs traditionnels de l'immobilier intègrent le Big Data ? Quels nouveaux modèles sont susceptibles de s'imposer au cours des prochaines années ?
Source : Xerfi