Selon la dernière étude trimestrielle de la RICS sur ce type de biens dans le monde, l’intérêt des professionnels de l’immobilier pour les biens en difficulté a augmenté de façon spectaculaire et en particulier en République d’Irlande, aux USA et en Espagne.
En termes d’activité, au 3ème trimestre, on constate une légère baisse du nombre de pays affichant une augmentation du nombre de biens « en difficulté » arrivant sur le marché. On en comptait 13 au 2ème trimestre, il n’y en a plus que 12 ce trimestre. De plus, globalement les stocks de biens « en difficulté » ont baissé ou progressé à un rythme plus lent durant ce dernier trimestre dans pratiquement tous les marchés, à l’exception de la Nouvelle Zélande, de l’Italie, de l’Espagne, le l’Union Arabe Unie et de la République Tchèque.
« Au final, les banques tiennent les clés de l’évolution du marché, en ce qui concerne l’évolution du marché des biens en difficulté dans l’année à venir », souligne Oliver Gilmartin, RICS senior economist.
25 novembre 2010 | 15:04 CET
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