En septembre 1872 en Ontario, au Canada, débute une épidémie de grippe équine dénommée « The Great Epizootic »1, qui va toucher progressivement l’ensemble des chevaux du (...)
L’épidémie de Covid-19 nous a contraints, un temps, à réduire nos déplacements de longue distance en avion, en train et en voiture particulière. Cette non-mobilité nous a poussés à questionner nos mobilités. Mais ne nous y trompons pas, cette crise sanitaire n’est qu’une mise en bouche au menu qui nous attend. Avec 8,5 milliards d’individus prévus en 2030 et une capacité déclinante à produire de l’énergie bon marché, le réveil risque d’être brutal. Et c’est en balayant l’histoire que nous nous sommes finalement aperçus que notre rapport aux moyens de transport est plutôt stagnant. Que l’on remplace le cheval par la voiture, ou cette dernière par le vélo, ils finissent tous par être un jour ou l’autre condamnés, à tort ou à raison… Cette remise en cause de nos choix modaux n’est donc pas nouvelle, mais cette crise sera-t-elle enfin le point d’inflexion vers un réel changement de paradigme ?
En septembre 1872 en Ontario, au Canada, débute une épidémie de grippe équine dénommée « The Great Epizootic »1, qui va toucher progressivement l’ensemble des chevaux du (...)
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Gérante - Éditrice - Auteure - Le Visiteur d'Architecture
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