La prudence des acteurs continue de peser sur l'activité : c’est le sentiment général chez les observateurs du secteur de l’investissement. Mais un arrière-goût (...)
Timide sortie de crise pour les uns, déception pour les autres, la première partie de l’année aura été, tout du moins mitigée. D’un strict point de vue mathématique, les volumes sont à la hausse d’un timide 9 % par rapport au cru précédent avec 5 Mds€ investis en France (dont 3,3 M€ en lle-de-France) au 1er semestre 2011. Mais ce score ne parvient décidément pas à convaincre. Il faut dire qu’il reste désespérément très en-deçà de la moyenne des dix dernières années (- 24 %).
La prudence des acteurs continue de peser sur l'activité : c’est le sentiment général chez les observateurs du secteur de l’investissement. Mais un arrière-goût (...)
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