Le marché hôtelier français ressemble de plus en plus à un marché à deux vitesses. D’un côté, les destinations capables de s’appuyer sur une diversification de leur mix clientèle, attirant aussi bien une clientèle d’affaires que de loisirs, nationale qu’internationale, individuelle que de groupes, et de l’autre, les destinations ou l’un des segments domine le mix. Pour les premières, au premier rang desquelles se trouvent Paris et la Côte d’Azur, les difficultés existent mais restent limitées. Pour les secondes ou se trouvent une bonne partie de la Province et des agglomérations, la crise est de rigueur et les difficultés omniprésentes.
Source : In Extenso - Deloitte