Pour tout client, discuter du taux d’actualisation avec son évaluateur peut se révéler être un exercice frustrant. La raison en est simple : le taux d’actualisation est le paramètre d’évaluation le plus compliqué à rationaliser… Cela étant dit, les temps ont bien changé depuis la publication du rapport Barthès de Ruyter en février 2000 qui posait des premiers jalons méthodologiques sur le calcul du taux d’actualisation. À cette époque-là, la méthode par discounted cash flow était encore peu utilisée. Depuis, elle s’est progressivement imposée chez tous les investisseurs, ce qui a permis aux évaluateurs et aux acteurs de marché de mieux l’appréhender et d’en définir les principes.
10 juillet 2018 | 16:46 CET
Comment un évaluateur peut adapter et justifier un taux d’actualisation
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