Le pitch
Il était une fois (2013) une plate-forme collaborative, à l’origine déployée pour les grandes écoles et les universités qui, par l’imprévu de la crise sanitaire, fait bifurquer ses classes virtuelles vers les formations d’entreprise et vers les visioconférences interactives pour le télétravail et les réunions en ligne.
Son employabilité
D’abord, supprimer les tensions du télétravail (piège à domicile) avec des fonctionnalités développées pour reproduire virtuellement les repères et les habitudes du bureau ; ensuite, répondre aux besoins sensoriels et aux échanges tant appréciés dans les espaces collaboratifs ; et enfin, accompagner l’irruption du management à distance qui, de toute façon, prendra ses marques post-crise.
Ses mentions « Impact Real Estate »
Environnemental, si le travail à domicile réduit les déplacements.
Social, même en cas de confinements répétés, le lien entre les individus reste indispensable. Sociétal, la production intellectuelle « déspatialisée » n’est plus une fiction, mais une actualité.
Sa persistance
Tient dans le « faire société », là où le bureau a son double numérique, là où les réunions se font hors établissement, là où les formations ont leurs classes virtuelles, là où le showroom s’envisage en réalité augmentée, là où le recrutement procède par des interconnexions digitales.
Son effet « Waouh »
C’est le véritable coworking, c’est-à-dire l’échange collaboratif via une plate-forme et non via un lieu partagé. C’est un flux continu 24 h/24, une bibliothèque libre d’accès et des projets en innovation ouverte. Glowbl et les autres technologies annoncent enfin l’économie du partage, véritable révolution.
