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Un taux de vacance encore plus marqué à New York qu’à Londres

Depuis 2020, les marchés de bureaux new-yorkais et londoniens ont subi de plein fouet les effets délétères de la crise sanitaire. Pour autant, s’ils ont chacun affiché en 2023 des taux de vacance (encore) en forte hausse, plombés par la propension de nombreux locataires à réévaluer leurs stratégies immobilières à l’aune des nouveaux usages tertiaires, la métropole américaine apparaît beaucoup plus en difficulté que sa rivale britannique.

Le marché du bureau new-yorkais souffre davantage que son homologue londonien de la désaffection des entreprises consommatrices de bureaux, révèlent les données de CoStar, (...)

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